L‘éducation de notre regard ne s’achève jamais. Un être vivant, par définition et par sa constitution organique, ne cesse d’évoluer, et nos sens physiques sont d’ailleurs équipés pour s’affiner tout au long de la vie. Alors que la faculté et le désir propres à l’esprit humain de voir, de sentir, d’entendre, de goûter et d’humer toujours plus finement évoluent ainsi durant la vie entière – car ce n’est que là que notre vie nous semble pleinement et dignement humaine – ils se voient parfois contrecarrés par la poussée du mental – certes compréhensible et parfois nécessaire à la survie – de réduire la quantité des choses perçues en un nombre limité de catégories. C’est ainsi que naissent les grilles de lecture.

Dans une pratique, et le Jin Shin Jyutsu n’y fait pas exception, les grilles de lecture rassurent pour ce qu’elles donnent d’orientation à notre action sur l’autre. C’est lorsqu’elles ne nous permettent plus d’ouvrir le regard sur l’autre dans son unicité et dans son actualité qu’elles commencent à nous peser. Ainsi il n’y a pas de mal à avoir développé un jour une grille de lecture, mais il y a désavantage à utiliser encore aujourd’hui, celle que j’ai développé d’antan, au préjudice d’un regard frais sur la personne, présente devant moi et en permanent devenir, pleine de forces qui jadis lui ont permis de survivre, et qui maintenant l’habilitent, parfois à son insu, à vivre une éclosion prochaine.

Celle ou celui qui s’apprête à accompagner cette ouverture, qui propose de laisser passer par ses mains le proverbial soleil qui encourage la floraison de l’être, devra, un jour ou l’autre, prendre une décision de poids : celle d’abandonner la sécurité d’un regard qui voit « ce qui ne va pas » chez l’autre, ou encore de celui qui croit en connaitre « l’état idéal », pour s’engager, avec autant de joie que d’humilité, sur le chemin d’un regard sans cesse renouvelé. Un regard qui cherche et qui trouve les forces inscrites dans un corps que voilà; un regard qui ne cesse de se laisser étonner, surprendre, sensibiliser…

Ainsi, en termes bien pratiques, nous nous exercerons durant trois jours à un regard sur le corps qui recherche la force de l’être qui s’y est inscrite. Une fois que l’on décèle la force et l’harmonie déjà intégrées, il devient possible de leur ouvrir les voies d’une extension naturelle vers d’autres régions du corps.

Ce stage offre la possibilité de vivre une transformation personnelle, tout en affinant son travail sur autrui. Il s’adresse aux personnes qui souhaitent approfondir la connaissance du « langage » du corps, et d’en aiguiser la compréhension. L’attention se posera sur les aspects positifs du corps plutôt que sur ses disharmonies, afin de développer un regard bienveillant. Chaque participant.e recevra des séances, exercera son regard et pratiquera sur les autres, tout en étant guidé.e par Matthias. Chacun pourra, alors, observer la métamorphose de son propre corps, et de celui des autres.

Prix 2024 : 510 €, avec inscription avant le 1 février 2024 : 470 €, répétants du stage « Métamorphoses du corps » 380 €

L‘éducation de notre regard ne s’achève jamais. Un être vivant, par définition et par sa constitution organique, ne cesse d’évoluer, et nos sens physiques sont d’ailleurs équipés pour s’affiner tout au long de la vie. Alors que la faculté et le désir propres à l’esprit humain de voir, de sentir, d’entendre, de goûter et d’humer toujours plus finement évoluent ainsi durant la vie entière – car ce n’est que là que notre vie nous semble pleinement et dignement humaine – ils se voient parfois contrecarrés par la poussée du mental – certes compréhensible et parfois nécessaire à la survie – de réduire la quantité des choses perçues en un nombre limité de catégories. C’est ainsi que naissent les grilles de lecture.

Dans une pratique, et le Jin Shin Jyutsu n’y fait pas exception, les grilles de lecture rassurent pour ce qu’elles donnent d’orientation à notre action sur l’autre. C’est lorsqu’elles ne nous permettent plus d’ouvrir le regard sur l’autre dans son unicité et dans son actualité qu’elles commencent à nous peser. Ainsi il n’y a pas de mal à avoir développé un jour une grille de lecture, mais il y a désavantage à utiliser encore aujourd’hui, celle que j’ai développé d’antan, au préjudice d’un regard frais sur la personne, présente devant moi et en permanent devenir, pleine de forces qui jadis lui ont permis de survivre, et qui maintenant l’habilitent, parfois à son insu, à vivre une éclosion prochaine.

Celle ou celui qui s’apprête à accompagner cette ouverture, qui propose de laisser passer par ses mains le proverbial soleil qui encourage la floraison de l’être, devra, un jour ou l’autre, prendre une décision de poids : celle d’abandonner la sécurité d’un regard qui voit « ce qui ne va pas » chez l’autre, ou encore de celui qui croit en connaitre « l’état idéal », pour s’engager, avec autant de joie que d’humilité, sur le chemin d’un regard sans cesse renouvelé. Un regard qui cherche et qui trouve les forces inscrites dans un corps que voilà; un regard qui ne cesse de se laisser étonner, surprendre, sensibiliser…

Ainsi, en termes bien pratiques, nous nous exercerons durant trois jours à un regard sur le corps qui recherche la force de l’être qui s’y est inscrite. Une fois que l’on décèle la force et l’harmonie déjà intégrées, il devient possible de leur ouvrir les voies d’une extension naturelle vers d’autres régions du corps.

Ce stage offre la possibilité de vivre une transformation personnelle, tout en affinant son travail sur autrui. Il s’adresse aux personnes qui souhaitent approfondir la connaissance du « langage » du corps, et d’en aiguiser la compréhension. L’attention se posera sur les aspects positifs du corps plutôt que sur ses disharmonies, afin de développer un regard bienveillant. Chaque participant.e recevra des séances, exercera son regard et pratiquera sur les autres, tout en étant guidé.e par Matthias. Chacun pourra, alors, observer la métamorphose de son propre corps, et de celui des autres.

Prix 2024 : 510 €, avec inscription avant le 1 février 2024 : 470 €, répétants du stage « Métamorphoses du corps » 380 €